un fil à la patte résumé par acte
voyons ! I will marry him ! est c’qué tou té foutes de moi ? Moi, je ne pose pas pour la morale, mais quand on est fiancé on doit rentrer coucher chez soi… (Il souffle sur la bottine pour la faire reluire.)
Mais réfléchis-y bien ! Ah ! Jamais, vous m’entendez, jamais, il n’y a rien eu entre Mlle Gautier et moi ! J’étais venue… (Intimidée par le regard dur de Bois-d’Enghien) pour te rapporter ta clé. (Il se sauve par le fond pour se réfugier dans le salon. Il m’a dit oun chose… qu’elle m’embête, mais que yo n’ai pas le choix… Il m’a dit : yo no serai la votre que si Bodégué il veut encore être le mienne ! un lendemain de soirée de contrat ! te tuer ! Entre le fauteuil et la fenêtre, une patère à laquelle est suspendu un peignoir de femme ; par terre, une paire de mules de femme. voilà avec quoi elle se tue, un accessoire de théâtre ! Enfin, j’aurai la paix maintenant. Mais, sacristi ! Tu vois, maman, que tu peux bien me le donner pour mari ! Ah ! Le théâtre est divisé en deux parties. Moi ? (Avec expansion, se jetant à son cou.) C’est très bien, posez-la là !… (Elle pose la clé sur la toilette.) Ah ! Oui, mais tout ça, c’est très gentil, ti, ti, ti !Si vot’maman dans sa colèreM’envoi’prom’ner après tout ça ? tu ! là !
Tenez, par là… Vous suivez le couloir et à droite… Vous m’excuserez et vous direz que je ne puis recevoir. Ne lui dites pas que je monte !
Buenos dias !… quel il fait là-haut ?… Bodégué !… Bueno Bodégué… Bodégué ! Non. Qu’est-ce qu’on a donc à sonner comme ça, ce matin ? Il doit se douter que c’est moi ! Eh bien ! (Il sonne longuement.). Ah ! dites-lui que c’est l’usage… que les grands artistes donnent toujours leurs leçons de chant dans les escaliers… il y a plus d’espace. Où étiez-vous ? je m’en souviendrai !
(Indiquant la porte au fond qui ouvre sur le couloir.) Oh yes ! Ah ! Quinze !… Tenez, pas plus tard que tout à l’heure, voilà un pistolet que j’ai arraché à l’une d’elles. Mais oui, tu vois la porte est entre-bâillée comme ça se fait les jours de cérémonie ! Bueno ! ), Monsieur, c’est le géné… (Reconnaissant le général.) non ça n’aurait qu’à être un nouveau général ! Oh !… (À travers la porte, à Bois-d’Enghien.) ce pauvre Bouzin !
Eh ! Mais, prends garde ! Oui ? On sonne, et Jean qui n’est pas là. (Un monsieur apparaît sur le palier, salue le général (1) en passant (2) et gagne l’étage supérieur. Jamais de la vie ! Bouzin, apparaissant par la porte donnant de droite, qu’il referme brusquement, s’élance dans l’escalier en passant devant Bois-d’Enghien sans s’arrêter. Oh !
Ah !… Et puis, pas d’histoires, hein ? (Elle sort.).
Je suis joué ! Au premier plan, à droite, porte donnant sur l’appartement de Bois-d’Enghien ; bouton électrique à la porte ; à droite de la porte, un siège en X appareillé à la banquette. Mais non ! Vous pouvez le déchirer, mon contrat !
(Il fait mine d’aller à la porte du palier.). Bois-d’Enghien… au deuxième ! Ah ! (Il ouvre la porte du palier.). ), C’est ça ! Concierge, concierge ! non ! c’est comme ça ! Moi ? Tenez, voulez-vous me rendre un service… je n’ai personne pour ouvrir, voulez-vous y aller ? (Il va jusqu’à lui à pas de loup et s’en empare. Oh ! « Porqué » (Au général.) Allons bon !… Qui est-ce qui vient là encore ? ce pauvre Bouzin !
(Il entre dans le cabinet dont il ferme la porte sur Bouzin.). Oui, mais tout ça, c’est très gentil…. (Bois-d’Enghien, pendant ce temps, est allé s’asseoir sur la banquette, avec les vêtements, a posé son pistolet à sa droite et enfile le pantalon de Bouzin.
Eh bien ! Attends, Boussin !
Je savais bien que c’était au-dessus. Ce n’est pas étonnant, vous êtes habillé, vous ! ah ! si je sonnais… Bouzin entendrait peut-être. Oh !
Je ne suis pas visible ! moi, Monsieur, ça n’a pas d’importance. Fernand, réfléchis bien à ce que tu fais… Tu sais, c’est pour toujours ! Est-ce que je suis voué à cette chasse à courre chaque fois que je le rencontrerai… Enfin, qu’est-ce qu’il me reproche ? ), Tiens, tes mules ! yo vous disse maintenant vous allez raccommoder avé Loucette. Avec son anglais, il n’y a pas moyen de l’attraper !….
que faire ? c’est vous ! Oh ! Oh ! Elle est femme !… Elle a encore plus d’amour-propre que d’amour… et quand vous lui aurez dit… Je la connais, la vanité… elle est à vous !…. Il tient une bottine à la main et la frotte avec une flanelle.
bien ! (Ouvrant brusquement la porte du cabinet de toilette sur le palier et d’un air dur.) Acte III Scène 8 Un Fil à La Patte … Eh bien ! Eh bien ! prier l’intrigue d’Un fil à la patte afin que sa complexité ne constitue pas un obstacle à l’étude du genre du vaudeville et à la compréhension de la spécificité du théâtre de Feydeau. Elle demande ce que nous faisons dans l’escalier… Entrons chez vous ! Je vous en donne ma parole d’honneur ! Ah ! Me van hacer esperar toda la vida ? ), Oui, yo le vois !… (Se précipitant dans l’escalier qu’il descend quatre à quatre.) (Après avoir donné son rouleau de musique à Miss Betting, revenant à Bois-d’Enghien.) Est-ce que c’est ma faute !… D’abord pourquoi n’étiez-vous pas là ? Vous dites la « sandale », s, c, a, ça fait sca, ça ne fait pas sa ! oui, à toi, mais pas à moi. J’ai à te parler… (À Bouzin.) Caraï ! Oh ! vous m’aimez !… Eh bien ! Ce que c’est que de se montrer en gilet de flanelle ! Tu n’auras pas besoin de me le dire deux fois ! Ou alors on fait ce que je faisais… on couche avec sa future femme !… (Le fleuriste, qui est monté pendant ce qui précède avec une corbeille de fleurs sur la tête, s’arrête sur le palier, regarde la porte de droite et celle de gauche, et va sonner à droite.) ah ! Eh bien ! C’est égal ! voyons !
Loui ! Ouvrez ! (À Viviane.) Laissez-nous, Monsieur Bouzin ! (Il veut refermer sa porte. (Même jeu.). Eh bien ! Vous allez me rendre mon pantalon, ou je vous tue ! Enfin quoi ? ah ! C’est ici !
Ne fermez pas ! Aussi, Monsieur, on ferme sa porte quand on est dans cette tenue. Bueno !… Il n’est pas là la chosse !… yo souis venu qué yo vous parle.
Faites donc attention !
Bon ! descendant un peu et à droite avec la baronne, à part, traversant la scène, allant à Lucette, qui est remontée à la suite du notaire, qui lui-même est allé retrouver Bouzin dans le second plan, redescendant presqu'à la chaise longue, avec son corsage dont elle défait les lacets, sous le coup de l'émotion et sans réfléchir, revenant à la baronne, lui faisant carrément une scène, entrant vivement par le fond gauche, emboîté par Chenneviette, quittant Lucette et frappant dans ses mains pour presser les gens, tapant dans les mains de Lucette pendant que Chenneviette en fait autant de l'autre côté, qui est derrière la chaise longue, naïvement en se penchant sur la figure de Lucette, vivement, repassant au milieu de la scène, d'une voix forte, au moment ou Bois-d'Enghien va partir avec les deux femmes, très affairé, tirant une clé de sa poche, la donne au général et remontant tout en parlant, cavalcadant sur place comme un homme attiré de deux côtés.
Je vous demande pardon. je ne peux pourtant pas aller ouvrir comme ça !
». Et tiens, ton peignoir ! » — La mariée : « Mais nous avons le temps ! (La porte s’ouvre.) Je vous demande un peu ce qu’elle a de si attrayant, Mme Jean ! Mais il est fol ! la sandale qué vous l’avez fait Loucette et vous chez Madame Duvercher. Monsieur le demande ! (Apercevant le général.) Oh ! yo comprends !… Ah ! bon, oui, Monsieur. cette porte ! Il est étonnant avec ses « porqué » ! après ce qui s’est passé hier au soir ! le pauvre Bouzin !… Il n’a vraiment pas de chance. (Il sonne et frappe à coups redoublés sur la porte.). Si vous avez quelque chose à me dire, dites-le moi en chantant. J’ai pu être bête pendant longtemps, mais il y a limite à tout. On attendra ! Allons, bon ! Le Fleuriste monte au-dessus. Boussin ! Oui ? Boussin ! ), La noce descend du dessus. il y a un moyen tout trouvé. Mais vot’maman, qu’est-ce qu’elle dira ?Quand ell’saura, ell’voudra pas. Vous ne savez pas vous y prendre, mon ami ! Qui est-ce qui peut venir à cette heure-ci !
La porte est ouverte, vous pouvez la prendre. « oun oisseau » ! ah ! Eh !
Gais et contentsCar nous allons fêter,Voir et complimenterL’armée françai-ai-se ! Ah ! et una buena santé ! Elle ne comprend pas le français ! (Il remonte jusqu’à la porte du fond, puis, à part, au moment de sortir.) Non, porqué yo viens de voir Loucette Gautier qu’il est en bas ! je veux bien. Eh bien ! Au fond de la salle à manger, un buffet chargé de vaisselle.
Elles ne s'ouvrent plus, jusqu'à la fin de l'acte, qu'à deux vantaux. Eh bien ! vous êtes embêtant avec Mme Jean. je l’aime et je veux l’épouser ! Veux-tu me donner cela ? Qu’est-ce que c’est que la « sandale ». (Il a gagné l’extrême gauche n° 1. « Le squeptique ». Monsieur a là tout ce qu’il faut pour se changer. vous n’auriez pas un passe-partout sur vous, n’importe quoi, un rossignol ?
Bien ! là !
Mais tu sais… (Trouvant la porte close.) (Il le déchire en deux.). Se relevant aussitôt.) il ne vous l’a pas dit ? vous vous êtes trompée !… Ah ! Attends, Boussin ! mais non ! Veux-tu me donner ça ! (Bouzin entre dans le cabinet de toilette dont Bois-d’Enghien referme la porte. À gauche, deuxième plan, une fenêtre ouvrant sur l’intérieur. Quoi ? personne… Comment, il est parti ? il tombe bien ! (Il ressonne.). Ah ! Je n’ai vu qu’une chose : c’est que vous étiez bien tel que j’avais rêvé mon mari ! Si ! (Appelant avec le cri des ramoneurs.) Le Général, à présent !… Il ne manquait plus que lui ! Allons donc ! Qu’est-ce que c’est ? Bodégué, vous l’est oun ami !
Un homme qui est en caleçon dans l’escalier !…, Un homme en caleçon… (À part.) J’ignore si Mlle Gautier a un sentiment pour moi, — elle ne me l’a jamais dit, — en tout cas… je sais très bien que de mon côté… aussi, si c’est Mlle Gautier qui a été raconter… Eh bien, j’ai le regret de le dire : elle se vante !… (Suppliant.) ), C’est assommant !
Mon pantalon ou je tire !
Malheureuse, qui est-ce qui t’épousera après ce scandale ? Si tu me laisses franchir le seuil de cette porte, tu ne me reverras jamais ! Voulez-vous vous cacher ! Ah !
C’est épatant ! ), Non, non, il ne viendra pas !… Parbleu, il entend ! Quelle position, mon Dieu ! (Il sonne à droite longuement.). Tu m’trouv’ras chez M’sieur Bois-d’Enghien… ghien ! la note des frais… Ah ! (À Bois-d’Enghien.) Yes… (Voulant montrer qu’elle connaît le morceau.) et tes mules ! Bueno… c’est oune pâcatile ! Et pouis, tous sais : yo no to toue plous !
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