dans chaque perle de rosée tremble mon pays natal
Là-bas, nous oublierons…Sous un ciel plus clément, plus doux, nous oublierons…Nous souvenant qu’il est de plus larges planètes. Je retrouve tes flots, tes oliviers, tes vignes. Renée Vivien, surnommée Sapho 1900, est une poétesse britannique de langue française.
Et sanglotait au cœur profond des sarbitos. Celle qui fut ma Loreley, ma fleur de lune.Pendant le jour je puis l’oublier, mais la nuit.
Et mon amour, ainsi qu’un présent d’aromates…Mytilène, à travers les siècles disparates. Ecoutez-moi, mes Dieux, pareils aux clairs matins ! Nous entrerons dans le royaume des poètes. L’air de l’aurore était plus lancinant qu’un mal….
Par l’aube blême et par le clair de lune ami.
Des hommes ? Chère, je te convie à ce royal festin.Je ne veux pas jouir seule de ce matin.L’aube heurte le ciel comme une porte close.Viens boire la rosée au cœur blond de la rose.
Notre barques sera pleine d’ambre et d’épices. Le bonheur nous attend dans cette île odorante. En me prenant ma force, et mon rêve et ma foi. je ne le laisse pas tout à fait Obéisse au vouloir du vent et des remous. Mon île fraîche et ma secourable oasis…Vous êtes mon palais, mon soir et mon automne. Et j’ai porté ma harpe à travers la cité.
Viens, je te conterai mon passé, si tu veux.
This entry was posted on dimanche 15 novembre 2009 at 18:47 and is filed under Un peu de poésie.... Tagué: haiku. Sous les vieux murs que les brouillards lents font moisir.
bleu qui
pétrin ? Puis, des hommes ont pris dans leurs mains une boue.
Qui me fis le plus grand chagrin d’amour, Venise ! Au fond de mon passé, je retourne vers toi. Ces fontaines qui sont plus belles qu’un poème. Que ne connaîtront point les hommes curieux. Europe alors ne sois
L’anneau d’or que les flots oublieux ont terni. Ne me contemple point, puisque toi seule es belle.
L’époux montre aujourd’hui tes yeux, si méprisants. « Psappha, les doigts errants sur la lyre endormie. pas
Ici, je goûte en paix l’heure de la défaite,Car le soir pitoyable est l’ami des vaincus.Mes vers n’ont pas atteint à la calme excellence. Et parmi nous aucun ne pleure ni ne doute. Ma Maîtresse ! pas Ce merveilleux royaume où chantent les poètes.
Et la nuit m’ouvrira son jardin de ténèbres. Elle erre, comme un vent d’avril, sous la ramée. Tout à l’heure… Oublions ce que je viens de dire.
Qu’une vierge amoureuse est plus belle qu’un homme. Et je ne craignis plus les mauvais lendemains. Je ne t’ai point connu. Mon orgueil n’a connu que le blâme et l’affront. tiens-toi
Près d’elle, la mémoire est un rêve aboli.Son magique baiser est plus froid que l’oubli.Ses cheveux sont défaits et le soleil les dore. Que l’on remplit de fleurs, d’épices et de nard, E dont la voile flotte en des plis de suaire…Les rituels rameurs sont prêts… Il se fait tard…. Elle m’aurait aimée… ». pour avoir entendu jadis des chants étranges.
Le silence est pareil à l’écho d’une voix.
A ceux-là qui n’ont point de parents ni d’amis.
Je fus peut-être ton amant…, O ma splendeur ! M’emmènera vers le domaine du mystère.Près d’elle, j’entrerai, pâle autant qu’Aladin. Et parce que tes yeux ont d’étranges ardeurs.Et se troublent ainsi que les ondes rebelles.
Parfaite en ta douceur comme en ta cruauté.
L’amour, ressuscitant du tombeau des années.
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Puisque c’est l’infini que nous aimons en elles…Et puisque leurs baisers nous rendent éternelles. Au ras du sol les pieds invisibles des brises, Et nous nous promènerons dans ce jardin, éprises, Et ferventes, sachant que nous devons mourir…, Nous allons au hasard de nos rêves, j’effleure. Dans vos maisons aux murs chaudement endormis. Venez à moi, mes deux amours, mes bien-aimées…Je vous entourerai de vos anciens décors.
Où le silence est lent comme une femme en deuil, Où les ronces d’hier font un mauvais accueil, A qui n’apporte point le regret adorable.Dans le jardin où nul ne promène jamais. Et Viviane est plus puissante que le sort ; Elle porte en ses mains le sommeil et la mort. Elle imite, cachée en un fouillis de fleurs, Souveraine fantasque, elle s’attarde et rôde. Funèbre comme moi, comme moi froide et sombre.
Vers celles qu’aujourd’hui mon baiser importune.
Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Sur lequel, en chantant, un vol d’oiseaux pesa. Car ses pieds nus ont sanctifié le chemin.
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